La Seine-et-Marne à la brie de la transformation

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De retour sur les routes de France, Philippe Coy et la Fédération régionale Ile-de-France étaient en terre seine-et-marnaise, à Meaux et ses alentours.

 

Dans un contexte post jeux olympiques, où l’Ile-de-France était en attente d’une certaine effervescence internationale, les buralistes du département ont déjà en tête « l’après-coup » en dépit des évolutions territoriales qui touchent plusieurs centres-villes, notamment sur le secteur de Marne-la-Vallée. Les 50 buralistes présents le soir à la réunion (en provenance de Meaux, du sud du département et même du Val-de-Marne) prouvent cette volonté à embrasser la transformation

 

Car à l’instar du cours d’eau de la Marne, les buralistes meldois et aux alentours ont des projets de transformation et des demandes de diversification, principalement sur la partie du snacking et de la nicotine.

 

Comme Christina, buraliste depuis 14 ans, qui a déjà adoubé les techniques du merchandising proposées par la transformation. Ou même Clément, qui démarre sa 3e affaire avec la même dynamique et la même ambition de relever l’activité générale du commerce, plus reculé dans le territoire.

 

Finalement, le mot clé qui aura eu le plus d’échos durant cette journée reste « l’inspiration ». Car pour se challenger, pour se réinventer, pour se bousculer « il faut aller voir des collègues, s’en inspirer, essayer de nouvelles approches commerciales et surtout écouter les besoins de nos clients ».  C’était la conclusion d’une réunion collaborative qui donne le tempo pour un département finalement aussi bien rural qu’urbain.

Premier réseau de commerces de proximité

23 000 buralistes engagés dans les territoires, ouverts environ 12 heures par jour, 6 jours sur 7 et au service de la proximité

Annuaire des buralistes